Argumentaire
L’inscription de l’organisation dans le paradigme de la complexité (Morin E. 1991) induit par effet d’osmose la complexité de la communication des organisations. Les hommes se réunissant en vue d’une activité organisée, la communication est au cœur des principes et des pratiques qui fondent la coordination entre les acteurs internes et/ou externes de l’organisation. Au plan théorique et pratique, la communication des organisations étudie et met en œuvre les principes qui fondent la coordination entre les parties prenantes. L’étude d’exemples réels, de « cas d’organisations », d’articles de presse, permet d’observer une communication complexe, dont une partie globalement maîtrisée (formelle), vise à l’information et à l’efficacité, tandis que l’autre est plus spontanée (informelle (Métoté C. 2024) ; anthropologique ; kinésique (Ray Birdwhistell) ; proxémique (E. T. Hall), etc.) concourt au maintien du lien social. La communication organisée et la communication informelle cohabitent et sont complémentaires. L’action collective organisée étant selon Crozier M. et Friedberg E. (1977) un construit social, l’organisation est donc un instrument que les acteurs sociaux se sont forgés pour régler leurs interactions de façon à obtenir le minimum de coopération nécessaire à la poursuite d’objectifs collectifs tout en maintenant leur autonomie d’agents relativement libres.
Les différents acteurs participent de ce fait à la continuité et à la discontinuité de la construction, de la déconstruction et de la reconstruction sociale (Berger P., Luckmann T. 2006 ; Morin E.,1991 ; Derrida J. 1972) de la réalité organisationnelle. Dans le contexte actuel, face aux avancées, aux continuités et aux discontinuités connues par la « camerounisation » de la communication des organisations (Le Secrétariat de l’Assemblée Nationale de la République Unie du Cameroun, 1978, p. 149 ; Botétémé M. B., 2015), il devient urgent de cerner la complexité et d’appréhender les méandres de la communication interne et externe selon les spécificités de l’organisation. Par ailleurs, il est utile d’en dénouer les problèmes posés ; de questionner les discours, les interactions, les pratiques et les dispositifs de communication tout en tenant compte des contingences socioculturels, sociopolitiques, socio-économiques, sociotechniques et socio-technologiques qui ont une prégnance sur l’organisation.
Le foisonnement des études et des recherches universitaires sur la communication des organisations montre l’intérêt de plus en plus grandissant à elle accordée au plan théorique par les chercheurs et au plan pratique pour sa place devenue incontournable au sein des organisations (marchandes ou non marchandes). L’impératif de se montrer et de se relater avec son environnement et ses cibles est incompressible (Weil P. 1990, pp. 45-103). Les questionnements de cette spécialité du sous-champ des SIC (Sciences de l’Information et de la Communication) portent sur les acteurs, les discours, les interactions, les pratiques, les dispositifs, la visibilité, l’image de l’organisation, la confiance, les politiques, les stratégies et l’analyse des communications mises en œuvre par/pour les organisations en leur sein. Ces études visent à comprendre les organisations, leur fonctionnement et leurs dynamiques à partir des phénomènes de communication qui les structurent (Bouillon J.-L., Bourdin S., Loneux C. 2007, p. 7). La communication des organisations s’inscrit au cœur de l’interdisciplinarité (Miège B., 2005) et de la transdisciplinarité (Bertrand J. P. 1996) qui caractérisent les SIC et elle bénéficie de l’enrichissement des théories des disciplines que sont : la sociologie, la linguistique, la psychologie, la psychosociologie, la gestion, etc.
Pour Daniel T. (1998, p. 28), on utilisera plus spontanément la terminologie « communication des organisations » pour désigner l’approche de la communication comme élément structurant toute organisation. La communication organisationnelle s’intéresse au contenu et aux modalités des actes de communication dans les organisations et cherche à comprendre le rôle de ces derniers dans les situations de travail et de coopération (BOUZON A., 2006, p. 12). La communication organisationnelle traite du rôle des messages, des significations et des flux d’informations à l’intérieur, à l’extérieur et entre les organisations. L’intérêt est également porté ici à la fois sur les analyses théoriques et appliquées qui concernent le rôle de la communication dans le fonctionnement d’organisations complexes et sur l’étude des microphénomènes comme la négociation et les tactiques de marchandage, la communication entre supérieur et subordonné à la prise de décision, l’entretien, les phénomènes d’assimilation, le feedback concernant la performance, le pouvoir et l’influence et les compétences de communication. À un niveau plus large, c’est aussi l’étude du climat et de la culture des organisations, les réseaux émergents, les environnements informationnels, les discours institutionnels, la communication et la productivité, les technologies de l’information, la communication interculturelle dans les environnements organisationnels (International Communication Association est une importante association de chercheurs en communication américaine dont la division 4 concerne la communication organisationnelle) (Bernard F. 1998, pp. 199-200). Le champ de la communication organisationnelle étant de ce fait étendu et varié, il n’est pas facile de le cerner dès le premier jet.
De cette complexité de l’organisation et de la vastitude du champ de la communication dans, par et sur l’organisation, Françoise B. (1998, p. 49) trouve que la définition de la communication organisationnelle pose problème quant aux objets, aux catégories, aux méthodologies et aux problématisations. Ce constat l’encourage à proposer deux définitions provisoires et élargies de la communication organisationnelle du point de vue des pratiques et du point de vue des théories :
- Du point de vue des pratiques, la communication organisationnelle ne se confond pas avec la somme des communications de l’entreprise à savoir : communication institutionnelle, communication commerciale, communication financière, communication fonctionnelle, communication représentative des salariés, communication sociale, etc.). Elle est plus que la somme de ces communications d’entreprises parce qu’elle intègre des processus communicationnels émergents, c’est-à-dire des actes et des évènements communicationnels non prescrits, non possibles, contingents, généralement peu identifiés et peu analysés.
- Du point de vue des théories, la communication organisationnelle ne se confond pas avec la somme des théories de la communication et des théories de l’organisation. Elle est plus que la somme en ce sens que de nombreuses théorisations issues des sciences humaines et sociales en élargissent l’approche scientifique.
Selon cette approche de définition proposée par Françoise B. (1998, p. 49), la communication organisationnelle est alors un concept polysémique. Il n’y aurait pas une communication organisationnelle mais autant de communications organisationnelles qu’il y a d’organisations communiquant concrètement. Toute organisation élabore sa communication selon ses objectifs, sa spécificité, ses aspirations et selon l’orientation indiquée par sa politique.
Plusieurs auteurs locaux ont conceptualisé et « camerounisé » la communication des organisations. Ces études, très souvent menées « dans des organisations en contexte contraint » (Kemayou L. R. 2021) ont permis de mettre en relief divers objets de recherche très souvent manipulés par les chercheurs camerounais dans une approche interdisciplinaire. Pour Kemayou L. R. (2005, pp. 242-258), la communication organisationnelle s’entend « au sens intersubjectif d’une part, comme la circulation et l’échange symbolique par lesquels, institutions, organismes publics, associations ou acteurs privés tentent de circonvenir leurs différents publics, exprimant leur identité et leur personnalité et d’autre part au sens médiatisé, comme celle qui les met en scène dans l’espace public aux fins de fédérer ou d’emporter l’adhésion des sujets singuliers de la socialité ». Boyomo A. L. C. (2012, p. 144) quant à lui, dit de la communication des organisations qu’ : « elle est donc le processus d’écoute et d’émission de messages et de signes à destination de publics particuliers et visant à l’amélioration de l’image, au renforcement de ses relations, à la promotion de ses produits ou services et à la défense de ses intérêts ». D’autres concepts manipulés par une pluralité de chercheurs portent sur : l’organisation comme entité émettrice des messages (que dit l’organisation de ce qu’elle est ? Que dit-elle de ce qu’elle fait ? Quelle image l’organisation donne-t-elle à voir (tension entre les éléments du triptyque image souhaitée – image réelle et image perçue (Whestphalen M. H. et Libaert T., 2009) ; les acteurs (internes ou externes) à l’organisation (qui sont-ils et comment communiquent-ils ?) ; Les pratiques de communication (à la fois formelles et/ou informelles (Métoté C., Botétémé M. B., 2024) ; les politiques publiques/privées de communication (de plus en plus réajustées par les contingences de l’environnement) (Kemayou L. R. 2015 ; 2021) ; les dispositifs techniques (Temadjo J., Bodiong W. D., 2015), structurels, infrastructurels, infostructurels, technostructurels et règlementaires de communication (Temadjo J., Tagmeni T. C. L. 2020 ; Temadjo J. 2021 ; 2024) ; les stratégies de communication (Botétémé M. B., Cwako M., 2020) ; les discours (Njoh K. F., 2022) ; les récits publics (Tsayem L. 2017) ; les interactions de communication (Métoté C. 2024) ; les enjeux et impacts de la communication des organisations (Cwako M. 2021) ; la Responsabilité Sociale de l’Entreprise (RSE) (Métoté C. 2012) ; la publicité dans la communication des organisations (Mbianda, P. 2002 ; Boteteme M. B. 2015 ; Ndongue E. T. 2018 ; 2023), la participation citoyenne et valorisation patrimoniale au Cameroun (Kemayou L. R. 2021) ; etc.
OBJECTIFS
Par le présent appel, revisiter la communication des organisations au Cameroun reviendrait à :
- Revisiter la « camerounisation » de la communication des organisations appliquée au champ camerounais : nouvelles conceptualisations, nouvelles théorisations, nouvelles approches ;
- Élaborer une anthologie des travaux réalisés (thèses, articles, mémoires, colloques, symposium, ouvrages) en communication des organisations.
- Questionner les innovations apportées dans la communication des organisations au Cameroun ;
- Interroger l’appropriation et les pratiques de l’Intelligence Artificielle (IA) dans la communication des organisations au Cameroun (l’existant ; les réserves ; les perspectives).
LES AXES DE REFLEXION
- Axe 1 : La communication des organisations au Cameroun : approches théoriques.
- Axe 2 : Les pratiques et les enjeux de la communication des organisations au Cameroun (acteurs, discours, interactions).
- Axe 3 : Les dispositifs de communication des organisations au Cameroun (dispositifs de communication classiques, Réseaux Sociaux Numériques (RSN), la conservation des données organisationnelles ; Intelligence Artificielle (IA).
- Axe 4 : Les nouvelles approches de la communication interne au Cameroun (la communication pour l’inclusion sociale au travail (genre, handicap, culture d’entreprise, orientation religieuse).
- Axe 5 : L’organisation au Cameroun et son environnement externe (publicité, RSE, le parrainage des actions de communication).
- Axe 6 : Les normes dans la communication des organisations au Cameroun.
consignes de redaction des articles
Langues : Anglais ou Français
Les propositions d’articles à envoyer pour évaluation en double aveugle doivent remplir les conditions suivantes :
- Présentation du ou des auteur (s)
Nom (s) et Prénom (s) :
Institution (Laboratoire et Université) :
Adresse professionnelle :
Téléphone :
Courriel :
Inscrire le (s) nom (s) et le (s) prénom (s) de (s) l’auteur (s) (en gras, taille 12), suivi de son/leurs institution (s) d’affiliation, du Laboratoire, du numéro de téléphone et de l’adresse électronique de l’auteur principal (taille 10) avec des majuscules en début de phrase uniquement.
- L’axe de réflexion et le titre précis de l’article (sur la première page) :
Le titre de l’article, pas plus de 25 mots, taille 14, interligne 1, centré, en gras, avec la première lettre seule en majuscule et le reste en minuscule.
- Résumé et au maximum cinq mots-clés :
Tout article devra être précédé d’un résumé en français et en anglais, de 350 mots, suivi de 3 à 5 mots-clés en petits caractères.
- Rédaction de l’article :
Le corps du texte doit être saisi sur fichier Word. La police de caractère est Times New Roman, taille 12, interligne 1pt, marges de 2,5 pts.
La longueur des articles est de 12 à 15 pages, références bibliographiques et notes de bas de pages comprises.
Les auteurs doivent s’assurer que leurs articles sont relus afin de corriger les incohérences grammaticales et sémantiques avant la soumission.
- Modèle de référencement :
Dans le corps du texte, les références respecteront les normes APA version 2019. Les citations doivent être conformes au respect des droits d’auteurs. Les citations longues seront mises en évidence. Les références bibliographiques en fin d’article, s’en tiendront uniquement aux publications citées dans l’article et s’établiront par classement alphabético-chronologique.
- Les articles seront évalués en double aveugles
- Dans le processus de relecture, la vérification de l’authenticité du texte de l’auteur sera de mise.
NB : Les articles ne respectant pas ces sept (07) points ci-dessus ne seront pas expertisés.
Modalités de soumission
Les propositions de communications seront envoyées à l’adresse électronique suivante : ouvragecollectif1comorg2025@gmail.com
- Date de publication de l’appel : 25 février 2025
- Date limite d’envoi des propositions de résumés : 24 mars 2025
- Date de retour des résumés aux auteurs : 11 avril 2025
- Date limite d’envoi des propositions d’articles complets : 25 mai 2025
- Retour aux auteurs : 15 juin 2025
- Date limite de rendu de la version écrite définitive de l’article : 30 juin 2025
- Date de publication : 25 juillet 2025
Contacts
- Metoté Caroline, Université de Douala, cmetote@yahoo.com
- Botétémé Munné Batet, Université de Douala, boteteme1@yahoo.fr
- Temadjo Jacques, Université de Douala, temadjo2001@gmail.com
Comité scientifique
- Pr Boyomo Assala Laurent Charles (Université de Yaoundé II-Soa)
- Pr Louis Roger Kemayou (Université de Douala)
- Pr Boteteme Munné Batet (Université de Douala)
- Pr Metote Caroline (Université de Douala)
- Pr Assomo Alain (Université de Yaoundé II-Soa)
- Pr Esse Corine (Université de Yaoundé II-Soa)
- Pr Baba Wamé (Université de Yaoundé II-Soa)
- Pr Fleur Nadine Ndjock Mvondo (Université d’Ebolowa)
- Pr Djadeu Colette (Université de Yaoundé II-Soa)
- Pr Amina Goron (Université de Maroua)
Comité DE LECTURE
- Pr Boteteme Munné Batet ; Pr Metote Caroline ; Dr C. Wako ; Dr Temadjo Jacques ; Dr Tsayem Lydiane ; Dr Ndongue Epangue Timothée ; Dr Tagmeni Tagmeni Chimène Laure ; Dr Mbarga Mekongo Thomas ; Dr Bodiong Wessi Déborah ; Dr Dzene Edzegue Joseph Bernard ; Dr Fofack Fulbert ; Dr Ndzana Abena Marie.
Contacts
- Metoté Caroline, Université de Douala, cmetote@yahoo.com
- Botétémé Munné Batet, Université de Douala, boteteme1@yahoo.fr
- Temadjo Jacques, Université de Douala, temadjo2001@gmail.com
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REFERENCES BibliographiQUES
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